Pour un Divertissement Sans Animaux est une campagne de Bite Back qui a comme objectif d’informer les gens sur la souffrance animale qui est li ée aux cirques, aux delphinaires, aux jardins zoologiques, aux moulins  poneys, aux tournages de films cin ématographiques, aux programmes de t él évision et aux comp étitions o ¹ les animaux sont utilis és pour le ‘divertissement’. Bite Back agit contre cette exploitation, encourage les gens  choisir des divertissements sans animaux et donne son support  des refuges animaliers o ¹ les animaux sont valoris és et exempts d’exploitation par des ªtres humains.
Les animaux ne sont pas des objets utilitaires, mais des ªtres vivants qui ne sont pas l’objet du divertissement des ªtres humains. Ce n’est pas parce que certaines formes d’amusement sont g én éralement accept ées dans la soci ét é ou font partie des traditions ou des coutumes que cela signifie que l’usage des animaux  ce but est éthiquement acceptable. Les int ér ªts des animaux sont toujours subordonn és  ceux des humains. Les animaux dans le secteur de l’amusement sont confront és  de s év ¨res probl ¨mes, aussi bien au niveau physique qu’au niveau mental. En plus, les cirques et les jardins zoologiques n’apprennent rien aux visiteurs concernant le comportement naturel de l’animal, car il n’est pas capable de l’adopter dans son environnement artificiel et par d éfinition trop petit.
LES CIRQUES
Beaucoup de cirques utilisent des animaux dans leurs spectacles. Afin d’entra ®ner ces animaux pour leurs actes p érilleux des outils de force comme des batons et des fouets sont (souvent) utilis és. Chez les él éphants on utilise un crochet  él éphant (anglais: bullhook), que l’on accroche  plusieurs reprises dans la chair de l’animal. Ainsi les él éphants sont forc és  performer des trucs qui sont tr ¨s nuisibles pour leurs muscles et leurs articulations. D ¨s un tr ¨s jeune ¢ge, les petits él éphants sont enlev és de leurs m ¨res, soumis  des étirements douloureux et contraignants, dans le simple but de casser leur esprit et de les rendre dociles. Selon des experts il est impossible – si on veut les faire faire des performances de cirque – d’entra ®ner des él éphants sans utiliser de la violence physique. Les cirques adorent cultiver le para ®tre, mais les vrais entra ®nements ont lieu quand le public n’est pas le bienvenu. Les soi-disants entra ®nements qu’ils montrent  la presse et au public sont en r éalit é des performances en non pas les vrais entra ®nements.
En dehors de la piste les él éphants ont également la vie tr ¨s dure. Ils passent 90% de leur temps dans des cages, étables, tentes et fourgons de transport d’animaux tr ´p petits o ¹ ils sont incapables d’adopter leurs comportements naturels. L’ennui, le stress et l’isolation m ¨nent  un comportement st ér éotyp é: les tigres font du va-et-vient et les él éphants basculent leur t ªte et leur trompe sans cesse de gauche  droite. Pendant le transport ils passent jusque 22 heures dans des fourgons de transport, souvent sans boire et dans le froid ou la chaleur extr ªme. Bref: le cirque c’est la mis ¨re noire pour les animaux! Bite Back est partisan de l’abolition des spectacles de cirque avec des animaux sauvages ou domestiqu és.
LES ZOOS
Il y a bien s »r des diff érences entre les jardins zoologiques, mais les circonstances dans lesquelles les animaux vivent, sont toujours inf érieures  celles de leurs habitats naturels. Les ailes des oiseaux sont taill és, les animaux aquatiques disposent souvent de tr ¨s peu d’eau et les animaux gr égaires qui vivent normalement en troupeaux passent leur temps tout seul ou  deux seulement. Les comportements naturels de pr édation et d’accouplement sont impossibles. Les animaux se trouvent tr ¨s proches l’un de l’autre, n’ont pas de sph ¨re priv ée et sont en manque de stimulation mentale et d’activit é physique. Souvent ils d émontrent un comportement anormal, qui est connu sous le nom”zoochose”, car il est tellement r épandu aupr ¨s des animaux des zoos partout dans le monde. Parfois les animaux passent  l’auto-mutilation  cause du stress.
On r éproduit par expres avec des esp ¨ces non-menac ées et populaires pour attirer encore plus de public. Des jeunes animaux font remplir la caisse, et ce que le public ignore, c’est que les animaux “en surplus” sont tu és par les jardins zoologiques et donn és  manger aux esp ¨ces carnivores en captivit é.
Certains propri étaires de zoos font un commerce avec des animaux et les revendent  des commer §ants d’animaux ou des cirques. Bite Back est oppos é aux zoos et donne son soutien aux refuges d’animaux qui font preuve de vision, o ¹ les animaux sont valoris és et libre d’exploitation par les humains. La t él évision et l’internet nous am ¨nent aujourd’hui des images et documentaires de la nature les plus fantastiques qui nous montrent les animaux dans leur habitat naturel. Les jardins zoologiques, produits typiques des tendances de conqu ªte et de classification du dix-neuvi ¨me si ¨cle, sont donc  consid érer comme un anachronisme  notre époque.
LES DELPHINARIUMS
Les dauphins sont des animaux intelligents avec un conportement social tr ¨s d évelopp é. Ils sont captur és dans la nature de mani ¨re violente, o ¹ ils subissent des blessures et ils sont enlev és du groupe dans lequel ils sont socialement int égr és. Certains bassins aux dauphins travaillaient ou travaillent avec des chasseurs mal fam és de dauphins qui s électionnent les exemplaires les plus aptes pour les bassins. Ceux-ci sont ensuite enferm és dans un bassin en b éton. Ces animaux vivaient auparavant librement dans les oc éans. Quel contraste! Ce fait est en contradiction avec la l égislation concernant le bien- ªtre animal qui stipule que le logement des animaux en captivit é do ®t ªtre adapt é aux besoins de l’animal.
De l’eau du robinet enrichi avec du sel de cuisine, des vitamines et des min éraux ne peut pas remplacer la mer, dont l’eau compte presque une centaine d’ él éments diff érents. Il leur manque aussi les vagues, le vent, la chasse et les autres habitants de la mer. Le stress nuit  leur syst ¨me immunitaire ce qui m ¨ne  des probl ¨mes dermatologiques chroniques, des ulc ¨res d’estomac et des infections. Le chlore attaque les yeux et la peau. Beaucoup d’animaux sont constamment sous antibiotiques. La plupart des dauphins d émontrent des troubles de comportement et sont gard és en vie  l’aide d’anti-d épresseurs. Derri ¨re leur “sourire” se cache beaucoup de souffrance.
“Elle nageait dans mes bras, elle me regardait dans les yeux et elle arr ªta ®t de respirer. Je la l ¢chais et elle coulait vers le fond du bassin, son ventre vers le bas. Le lendemain je me retrouvais au prison car je voulais lib érer tous les dauphins.” – L’ex-entra ®neur de dauphins Ric O’Barry sur le suicide d’un dauphin qui jouait le r ´le de Flipper.
LES PONEYS DES FOIRES ET LES CALECHES
Dans les man ¨ges  poney les animaux sont forc és  tourner en rond pendant des heures avec des enfants sur le dos. Ils sont expos és au bruit et  de la musique assourdissante. A la fin de leur journ ée de travail, ils sont enferm és pendant des heures dans des fourgons étroits. Ils y passent souvent des journ ées, de m ªme que pendant le transport de foire  foire. Les poneys sont des animaux intelligents qui doivent pouvoir pa ®tre et se promener librement. ce qui ne leur est quasiment jamais permis quand ils sont utilis és comme des attractions de foire. Les animaux souffrent physiquement et mentalement de leur travail forc é. Parfois ils sont envoy és  l’abattoir apr ¨s usage.
Dans les villes touristiques partout dans le monde, petites ou grandes, que ce soit Ostende ou New York, des excursions en vieille carrosse  cheval sont propos és pour les visiteurs. Ce qui pourrait ressembler au premier abord  un petit tour idyllique est en r éalit é un vrai travail d’esclave pour les chevaux qui tirent les cal ¨ches. Souvent ils do ®vent labourer pendant des heures dans la chaleur torride, sans ou avec tr ´p peu d’eau potable et de nourriture, pendant qu’ils sont expos és au bruit, aux gaz d’ échappement et aux dangers du trafic routier urbain contemporain. Parfois ces chevaux font des chutes graves car ils glissent sur l’asphalte ou parce qu’ils sont simplement épuis és. Apr ¨s une longue journ ée de travail on enferme ces chevaux souvent dans des espaces beaucoup tr ´p petits et inadapt és.
LE SPORT HIPPIQUE
Les courses  cheval sont tr ¨s populaires dans beaucoup des pays. Malheureusement elles sont le r ésultat d’une exploitation flagrante. D ¨s un tr ¨s jeune ¢ge, des chevaux sont entra ®n és et sont nourris avec de la nourriture fortifiante, des vitamines, des hormones et parfois m ªme des drogues pour augmenter leurs performances. Souvent ils sont forc és  courir des comp étitions avant que la structure de leurs squelettes soit compl ¨tement adulte, ce qui leur expose  des blessures ou m ªme pire, des fractures d’os. Le sol durci sur lequels ils sont oblig és de courir contribue aux blessures et au surmenage de leurs articulations. Afin de pouvoir courir quand-m ªme, des chevaux bless és sont administr és des anti-douleurs. Ceci aggrave encore les blessures.
Le stress chez les chevaux de course m ¨ne aux troubles d’estomac et du coeur. Une enqu ªte de l’organisation Brittanique Animal Aid a r év ¨l é comment ces courses sont contre-nature pour ces animaux. Ils ont d écouvert que les chevaux sont fouett és presque trente fois pendant une seule course pour les inciter  continuer  courir. Des chevaux qui sont bless és pendant une course sont envoy és  l’abattoir. Le m ªme sort attend les chevaux qui ne suivent plus et des chevaux d’ élevage qui ne r épondent pas aux crit ¨res.
Les chevaux de man ¨ge eux aussi sont confront és  des probl ¨mes physiques similaires. Ils d émontrent un comportement st ér éotyp é, ce qui est typique pour des animaux qui s’ennuyent. Beaucoup de chevaux de man ¨ges terminent leur existence  l’abattoir.
Des situations p énibles similaires on trouve dans les courses de chiens l évriers, d’autruches, des chameaux, des ¢nes … tous tant qu’ils sont des animaux intelligents et sensibles, qui sont forc és jusqu’  l’extr ªme au nom d’un “sport” et surtout  cause des grosses b én éfices qui sont gagn és par le biais des paris (tierc és?).
AUTRES SOUFFRANCES
Des rod éos, des combats de chiens ou de coqs, des spectacles de rapaces, les corridas, les courses de taureaux, des ours dansants, des él éphants forc és  mendier aupr ¨s des touristes, des spectacles et des expositions d’animaux, la p ªche r écr éative, … Partout au monde les animaux sont exploit és et maltrait és pour le plus grand “plaisir” de l’ ªtre humain. Les animaux sont également utilis és dans des films cin ématographiques. En participant  ces activit és vous soutenez – souvent sans le vouloir consciemment – une souffrance animale immense. Faites donc un geste fort en refusant  le faire, en protestant et en signalant l’abus.
QUE POUVEZ-VOUS FAIRE?
- Ne rendez pas visite aux zoos, aux delphinariums, aux comp étitions ou aux cirques avec des animaux.
- Ne laissez pas vos enfants aller sur les man ¨ges  poneys. Il y a plein d’autres attractions bien plus amusantes sans souffrance annimale.
- Envoyez des courriers ou des courriels  votre commune, au ministre responsable du bien- ªtre animal, aux sponsors et aux m édias et exprimez pourquoi vous voulez une interdiction des cirques  animaux, des man ¨ges  poneys, des courses d’animaux etc …
- Voulez-vous nous assister avec nos actions? Prenez contact avec nous. Faites des photos et des enregistrements vid éo d’animaux qui sont exploit és et envoyez les  Bite Back. Cela nous permet de d énoncer ces situations intol érables.